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31/01/2025Roman de Michael Ende, l’Histoire sans fin est un récit de fantasy ayant gagné une grande notoriété par son adaptation au cinéma.IntroductionDe son nom original Die unendliche Geschichte, L’Histoire sans fin est un récit de fantasy de l’auteur allemand Michael Ende. Son succès littéraire a conduit à son adaptation au cinéma, dont le premier film reste encore aujourd’hui très populaire et une référence dans le genre.HistoireL’histoire est celle d’un jeune garçon, Bastien Balthazar Bux, vivant une période difficile. Sa mère est morte et sa relation avec son père est compliquée, car ils ne s’entendent pas.Malmené par d’autres garçons de son âge, un jour il se réfugie dans une librairie pour les fuir. Cependant le libraire n’aime pas les enfants et le chasse. Bastien s’en va en emportant avec lui un étrange livre qui a attiré son attention. Arrivant à l’école et se sachant en retard, il se cache dans une remise pour ne pas être puni et débute la lecture du livre, nommé L’Histoire sans fin.Le récit prend place dans le Pays Fantastique, un monde merveilleux de fantasy, dirigé par la Petite Impératrice. Celle-ci est victime d’un mal incurable, un maléfice qui semble en lien avec le Néant, qui avance détruisant tout sur son passage. Afin de trouver une solution, l’Impératrice charge le chasseur Atreju de trouver un remède.Ainsi débute la lecture de Bastien, d’un récit dans lequel à chaque page tournée, il suit les aventures d’Atreju et ses rencontres comme avec le dragon Falkor ou le mangeur de pierre. Cependant il prend aussi de plus en plus part au récit et au destin du Pays Fantastique.FilmsDu fait de son succès en librairie, L’Histoire sans fin connaît plusieurs adaptations au cinéma. La première reste sans doute la plus marquante, faisant d’elle une référence dans les films de fantasy.L’Histoire sans fin (W.Ptersen)Un nouveau chapitre (G.Trumbull Miller)Retour à Fantasia (P.MacDonald)Jeux vidéoPar son univers et son scénario, L’Histoire sans fin a connu quelques adaptations en jeu vidéo, principalement en jeux d’aventures textuels.L’Histoire sans fin (aventure,  ZX Spectrum3,4, Amstrad CPC5, Apple II6, Commodore 647,8 Atari 800, Ocean Software)L’Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre (ZX Spectrum10, Amiga11,12, Commodore 6413, PC, Ocean Software)Liens externesPrime VideoApple VideoDernière modification le 31/01/2025. [...]Lire la suite…
24/01/2025Dieu-cerf gaulois en lien avec la nature, Cernunnos est une divinité majeure celte.IntroductionDivinité la plus ancienne dans la mythologie gauloise, Cernunnos est souvent considéré comme le dieu le plus proche du peuple. Son nom signifierait corne, ainsi on le surnomme le cornu ou le dieu-cerf. C’est une divinité majeure, surtout pour les druides, il incarne le cycle naturel des choses et le renouveau. Pourtant malgré son importance, les informations à son sujet ne sont pas nombreuses.Au Pays de Galles, il est assimilé à Gwynn et Sucellos chez les romains. Selon les Mabinogion, le dieu de l’Autre-monde Arawn serait un de ses avatars.Avec la christianisation, il sera désigné comme une divinité liée au diable.OriginesSi Cernunnos est connu comme dieu celte gaulois, il est une divinité archaïque (dans le sens plus ancien que l’antiquité). Certaines représentations laissent penser qu’il pourrait venir de l’ère des mégalithes dans la période du mésolithique, c’est à dire l’âge de pierre. Le cerf y était vu comme un animal sacré et les hommes voyaient cet animal comme un dieu.En Inde, on retrouve des représentations archaïques similaires. Ainsi, on pense que la posture assise en tailleur de cette divinité archaïque fut une version primitive de Shiva, quand du côté de l’Europe, cette divinité serait devenue Cernunnos chez les gaulois.DescriptionCernunnos est représenté comme un jeune homme ou un vieillard, avec une ou trois têtes à cornes de cerf (ou de bouc dans certaines versions), assis en tailleur, les jambes croisées.A son cou, il porte le torque, le collier gaulois traditionnel. Dans une main, il tient une corne d’abondance, un bol, un sac de pièces ou de nourriture (des grains), symbolisant l’abondance. De l’autre il tient le serpent à tête de bélier symbolisant l’unité celte. Ce qui lui a valu d’être pris parfois pour une divinité chtonienne. Parfois on le représente sur le chaudron de Gundestrup, qui pourrait ressusciter les morts.Du fait de son lien avec la nature, on lui associe très souvent la couleur verte, le bois et quelques fois dans les minerais l’émeraude.FonctionsIl personnifie le cycle naturel des choses, la vie et la mort. Ses bois qui tombent et repoussent symbolisent ce cycle. Ainsi, lorsque la nature se meurt à l’arrivée de l’hiver, Cernunnos part vivre sous la terre et il revient à Beltane au printemps quand la nature renaît. Ce qui n’est pas sans rappeler l’Homme vert, une divinité de la nature, en lien avec les saisons.Cet aspect fait de lui un dieu de la nature, de la flore et de la faune, de la fertilité ainsi que de la chasse. Il protège la nature, les forêts, c’est un gardien des bois. On dit que l’on peut sentir sa présence lorsque le vent fait bouger les feuilles des arbres.Lorsque sous les romains il devint Sucellos, il devint également un dieu de la mort.CulteSi on ne sait pas exactement comment on lui rendait hommage, il est possible qu’on lui offrait des animaux en sacrifice et peut-être des humains. Nourriture, objets artisanaux tels que des poteries, chaudrons, sculptures de taille et formes variées lui étaient aussi offerts.Il est vénéré dans la wicca, où il est toujours le dieu cornu, pendant masculin de la déesse-mère. Il y conserve ses fonctions de dieu du cycle de vie-mort et de l’Au-delà.RéférencesLittérature : Mabinogion, Rois du monde (J-P.Jaworski), Les Secrets de l’immortel Nicolas Flamel (M.Scott)BD : Astérix (R.Goscinny, A.Uderzo), Freaks’ Squeele (F.Maudoux)Mangas et animes : Seven Deadly Sins (N.Suzuki)Animes : Princesse Mononoke (H.Miyazaki)Jeux vidéo : Fate/Grand Order (Type Moon), SMITE (Titan Forge Games)Musique : Cernunnos (Omnia), Cernunnos (Eluveitie)Liens externes : dieu celte aux bois de cerf (Odysseus), autel (Musée de Reims)Image : Wikimedia Commons Dernière modification le 24/01/2025. [...]Lire la suite…
18/01/2025Les divinités de la mythologie coréenne et leurs attributs.NOMS DES DIVINITÉSATTRIBUTSBajireine suprême de la TerreCheollyungdieu des pots d’épicesCheonha Daejanggungardien du Village, général des cieuxCheonjiwangchef suprême du mondeCheukshindéesse des dépendancesChilseongdieu astral de la constellation Bukduchilseong (Grand Chariot)Dal(soon)-nimla luneDaebyeolroi de l’Au-delàEopshinGashin, protecteur des richessesGashindivinités protectrices des maisons et de leurs biensGwisinesprit des défuntsHae(sik)-nimle soleilHaneul-nimempereur céleste, souverain des Cieux et de la TerreJeoseung Halmangdéesse des infanticidesJeoseung Sajaanges de la mortJiha yeojanggungardienne du Village, protectrice de la TerreJowangshinGashin, protecteur du feu domestique, du foyerJuhseung Chasales trois dieux de la mortMagodéesse de la TerreMunshindieu des portesNulgubjishindieu des céréalesOeyangganshindieu du bétail et des chevauxOgushindéesse guide des défuntsOkhwang Sangjeroi des Cieux (dans le taoïsme)Samshin / Samshin-halmang / Samsin Halmonidéesse des naissances, protectrice des femmes enceintes et des enfantsSanshilyeong / Sanshindieu des MontagnesSeon-nyeoange des cieuxSeongjushinchef des GashinSeonnyeoanges de Cheonjiwang dont OneuliShiwangles 10 rois des enfers, juges des mortsSobyeolroi suprême du monde mortelSonnimnedivinités de la variole (Gaxi Sonnim, Hoban Sonnim, Muban Sonnim et Cheolhyeon,…)Sosamshindéesse des velages (mise bas chez les vaches)TeojushinGashin, dieu de la TerreYongwangdieu-dragon roi des mersYogwiesprit des défuntsImage : Wikimedia Commons Dernière modification le 20/01/2025. [...]Lire la suite…
17/01/2025Laissé à la place d’un nouveau-né, le changeling est une créature liée au Petit Peuple européen.IntroductionLe changeling ou changelin est une tromperie du Petit Peuple, principalement dans les légendes irlandaises, écossaises et scandinaves. Les membres de celui-ci, qu’ils soient fées, trolls, gnomes, elfes le laissent dans les berceaux, à la place des nouveaux-nés qu’ils enlèvent.Le nom vient à la l’origine du vieux français chanjon et changeon, devenu change en français classique. Au XVIème, les britanniques, anglicisent le mot en fusionnant le mot français change et le suffixe ing. Si au départ il désigne tout chose ou objet placé en substitution, les folkloristes lui ont donné le sens moderne, en faisant un enfant ou nourrisson laissé par les fées.DescriptionUn changeling a tout d’un véritable enfant et il est difficile de le démasquer à la simple vue. Toutefois chaque folklore évoque une manière différente d’y parvenir.En Irlande, on fait bouillir des coquilles d’œufs. Curieux, il écrit son âge et son origine alors qu’il ne devrait pas savoir le faire.En Angleterre, on raconte qu’un changeling prend feu si on l’approche de la cheminée. Une légende qui permettait aussi de justifier les actes cruels de brûler des enfants mal-nés. Ceux nés avec des malformations ou qui étaient le fruit d’unions non désirées (tromperies, viols,…).Dans les pays scandinaves, on pratique une méthode quelque peu dangereuse pour les démasquer. On raconte que les nouveaux-nés qui n’avaient pas été encore baptisés étant plus vulnérables aux esprits, il fallait les protéger. Comme un changeling a peur du fer, on suspendait au-dessus du berceau une lame (paire de ciseaux ou couteau). Dans le cas où le changeling est démasqué, alors il était de coutume de pouvoir le maltraiter, le fouetter, le brûler au four, jusqu’à ce que le véritable enfant soit rendu.En Espagne, on trouve l’équivalent des changelings avec les xanines, des créatures laissés par les xanas ou injanas, afin d’être allaités par des mères humaines.Dans certaines régions, l’histoire est plus sinistre, car les changelings servent à remplacer des enfants destinés à être des sacrifices au diable, aux démons.HistoiresLa princesse et le trollConte suédois, il raconte qu’un jour une princesse humaine fut enlevée et remplacée par une enfant trolle. Elles grandirent chacune de son côté et leurs vies ne leur convenant pas. La princesse humaine avait du dégoût pour le troll destiné à devenir son mari et la fille trolle s’ennuyait de sa vie de château et son prétendant humain.Elles finirent par s’enfuir de chez elles et dans leurs errances, chacune retrouva sa véritable mère et son foyer. Elles épousèrent le mari qui était fait pour elles et trouvèrent le bonheur.La femme et le changelingDans ce conte, un couple se rend compte que leur enfant a été remplacé par un changeling. Bien qu’on leur conseille de maltraiter l’enfant, pour que les trolls leur rendent leur véritable enfant, la femme refuse et son mari la quitte pour cela.Quelque temps après, alors qu’il est dans la forêt, le mari tombe sur son véritable enfant. Celui-ci lui raconte qu’il a bien été traité par la trolle, car sa mère a pris soin du changeling. De plus, du fait que sa mère avait sacrifié son mari et son mariage pour ne pas faire de mal à cet enfant, les trolls y virent la force de conviction de cette femme. Une force que rien ne saurait arrêter, aussi ils libèrent l’enfant qu’ils avaient enlevé.RéférencesLittérature : Songe d’une nuit d’été (W.Shakespeare)Jeux de rôle : Changelin : Le Songe, Changeling : The Lost (White Wolf), Donjons & Dragons (Wizards of the Coast)Jeux de cartes : Magic the Gathering (Wizards of the Coast)BD : Le clan des chimères (E.Corbeyran, M.Suro)Mangas et Animes : Fairy Tail (H.Mashima), Dungeon Meshi (R.Kui)Télévision : Supernatural (E.Krypke)Images : image 1, image 2, image 3 (Wikimedia Commons) Dernière modification le 17/01/2025. [...]Lire la suite…
10/01/2025Surnommés les sept sages, les Saptarishis sont des disciples de Shiva dans les mythes hindous.IntroductionMentionnés dans les Vedas, les Saptarishis sont des sages de l’hindouisme, les plus grands dans le védisme. Datant de l’Inde antique, on les définit parfois comme des voyants.DescriptionLes Saptarishis sont au nombre de sept. Ils ne sont pas humains, car ils sont nés de l’esprit de Brahmâ et sont donc totalement éveillés dans la voie brahmanique. Par la suite, Shiva leur enseigne le yoga afin qu’ils le transmettent à l’humanité, ainsi que leur savoir. Ils sont ainsi des guides pour les hommes.On dit qu’ils ont atteint une quasi-immortalité car du fait de leur pouvoir yogique, ils ont atteint une extrême grande longévité.En astronomie indienne ancienne, les sept étoiles de la Grande Ourse les représentent.Les sept SaptarishisAtriAuteur d’hymnes, il en a composé pour Agni et Indra. Il est mentionné dans le Rig-Veda, le Râmâyana et le Mahâbhârata.BharadvajaTourné vers l’étude Bharadvaja réalisa qu’une seule vie ne suffirait pas pour tout étudier. Aussi, il demanda l’aide d’Indra. Le dieu lui offrit ainsi plusieurs vies, ce qui lui permit de poursuivre ses recherches et d’écrire certains passages du Rig-Veda. Le brahmane Dronacharya, qui instruit les Pândavas et les Kauravas dans le Mahâbhârata est son fils.Dans le Râmâyana, Râma, Lakshmana et Sîtâ passèrent du temps avec lui durant leur exil.Gautama MaharishiMentionné en dehors de l’hindouisme, dans le janaïsme et le bouddhisme. Il est le créateur de la rivière Godavari (ou Gautami).JamadagniMarié à Renuka, il a cinq enfants dont Parashurama, l’un des avatars de Vishnou.KashyapaIl est un des Saptarishis les plus importants, puisqu’il serait le père des Devas, des Asuras, des nâgas, du Garuda et de l’humanité. Il est l’auteur d’écrits importants pour les femmes et les enfants, puisqu’ils concernent entre autres la pédiatrie et la gynécologie.VasisthaAuteur de certains passages du Rig-Veda, on lui doit des discours sur la nature de toute existence, le karma, le libre arbitre et la libération spirituelle.VishwamitraIl est le moins connu des sept, bien qu’il soit à l’origine de la découverte du Gayatri Mantra (ou Sāvitrī Mantra), que l’on retrouve dans le Rig-Veda. Il apparaît lui aussi dans le Râmâyana, où il guide Râma et Lakshama pour vaincre plusieurs Asuras.RéférencesLittérature : Vedas, Râmâyana, MahâbhârataLien externe (en) : The Hindu Roots of Yoga (HAF)Image : Wikimedia Commons Dernière modification le 09/02/2025. [...]Lire la suite…
20/12/2024Emprisonné au Tartare, Sisyphe est le personnage de la mythologie grecque condamné à pousser un rocher.IntroductionCélèbre histoire grecque, le mythe de Sisyphe est aussi le récit de l’absurde. Celui d’un homme condamné à pousser un rocher en haut du montagne et qui en redescend à chaque fois pour l’éternité.Nommé en grec Sísuphos et parfois trouvé sous le nom de Sesephos, il est un exemple de l’autorité des dieux et ce qu’il en coûte de s’opposer à eux. De plus, son histoire alimente les réflexions philosophiques encore aujourd’hui et donne lieu à diverses interprétations.Il est le fils du dieu du vent Éole et d’Énaraté. La fille d’Atlas, la Pléiade Mérope est son épouse et leurs enfants sont Ornytion, Sinon et Glaucos (le père de Bellérophon).HistoireSisyphe est un personnage important de Corinthe car il en serait le fondateur mythique. Il est décrit selon les points de vues comme le plus astucieux des hommes ou comme le plus fourbe.Il aurait été à l’origine des concours isthmiques appartenant aux quatre grands concours panhelléniques de la Grèce antique (avec les jeux olympiques, les concours pythiques et les concours néméens). Jeux qu’il aurait fondé en hommage à Mélicerte, le fondateur dont il aurait retrouvé la dépouille.Égine la fille d’AsoposUn jour Sisyphe proposa au dieu-fleuve Asopos de lui dire où se trouvait sa fille Égine, enlevée par Zeus, en échange d’une source intarissable. Asopos accepta et Sisyphe lui permet de faire fuir Zeus, sous forme d’aigle et ainsi sauver sa fille.Thanatos et ArèsCela éveilla la colère de Zeus, qui chargea Thanatos de tuer Sisyphe. Lorsque le dieu de la mort se présenta à Sisyphe, ce dernier lui proposa de lui montrer sa dernière invention : les menottes. Thanatos curieux se fit piéger et se retrouva attaché, sans pouvoir emmener avec lui Sisyphe.La mort étant immobilisée, plus aucun mort n’arrivait aux Enfers, ce qui attira l’attention de Zeus. Le roi des dieux envoya Arès retrouver et délivrer Thanatos, ainsi que de ramener aux Enfers Sisyphe.La mort de SisypheMais une fois encore Sisyphe tenta de tromper les dieux. Sachant sa mort venir, il demanda à sa femme de veiller à ce qu’il ne reçoive pas les rites funéraires comme cela devait. Ainsi, une fois aux Enfers, lorsqu’il se retrouva devant Hadès, il parvient à le convaincre de le renvoyer à la surface, afin de rectifier cette erreur.La condamnation au TartareÉvidemment une fois libéré de la mort, Sisyphe ne voulut pas retourner aux Enfers. Hermès fut alors envoyé le chercher et le ramener définitivement aux Enfers. Il fut emprisonné au Tartare, la prison des plus grands pécheurs, dont ceux qui ont osé défier les dieux. Il fut condamné à pousser pour l’éternité un rocher en haut d’une colline, qui en redescendait toujours du sommet.“Il n’y a pas d’efforts inutiles, Sisyphe se faisait des muscles.”R.CailloisRéférencesLittérature : L’Iliade et l’Odyssée (Homère), Le mythe de Sisyphe (A.Camus)Jeux vidéo : Hades (Supergiant Games)Lien externe : le sens de l’absurde (France Culture)Image : depositphotos Dernière modification le 28/12/2024. [...]Lire la suite…
13/12/2024Dieu suprême, Ahura Mazda est le créateur de toutes choses dans la mythologie perse.IntroductionSurnommé le Seigneur Sage ou Seigneur de la Sagesse, Ahura Mazda est le dieu suprême de la Perse antique. Il est à l’origine du monde mais aussi des autres dieux, ainsi que de l’Ātar, le feu suprême. Il est présenté comme un modèle, l’exemple à suivre. Son importance est telle que les perses le considéraient comme le plus grand des dieux.Son nom pourrait venir du sanskrit medhās signifiant sagesse ou intelligence. On le trouve parfois sous les noms d’Ormuzd ou d’AuhrMadzdDescriptionAhura Mazda est souvent représenté sous une forme humaine dotée d’ailes ou parfois sous la forme du soleil, car il est celui qui rend la lumière visible. Certains récits disent d’ailleurs que le soleil et la lune sont ses yeux.C’est un dieu doté d’une grande sagesse et d’une grande bonté. Cependant, il a une sorte de neutralité, dans le sens où dans sa conception dans le culte mazdéen, tout ne peut pas être blanc ou tout noir. Ainsi, Ahura Mazda a donné naissance à deux opposés complémentaires qui personnifient ses deux aspects.Le premier est Spenta Mainyu, qui incarne l’Arta, le bon côté des choses, la vérité. Le second est Angra Mainyu (parfois nommé Ahriman), qui représente le Druji, le mauvais côté des choses, la tromperie.  Toutefois, il arrive cependant dans certains textes qu’Angra Mainyu ne soit pas de son fait, mais son direct opposé.Les sept vertues d`Ahura MazdaDans le zoroastrisme, parmi les Ashema Spenta, des divinités primordiales, sept sont des formes d’Ahura Mazda :Vohu Manah : la bonne penséeAsha Vahishta : la vérité-justice excellente, l’ordre juste en tant que perfection divine dont l’ordre cosmiqueKhshatra : le pouvoir et la puissance du bienÂrmaiti : la dévotionHaurvatât : la santé, le salut spirituel, l’opposition aux maux engendrés par AhrimanAmeretât : l’immortalitéMazdâ : la sagesse, la lumière, l’omniscience.FonctionsDu fait de son statut de dieu suprême, Ahura Mazda incarne de nombreuses valeurs. Il est la bonté, la sagesse et possède la connaissance absolue. En tant que dieu créateur, il a donné naissance à toutes les formes physiques et spirituelles. Il créa le soleil, les étoiles, la lumière et les ténèbres, mais aussi des êtres vivants. Il créa les animaux, mais aussi les êtres humains, dont il fit de Darius I le roi.Dans les cas où Angra Mainyu est son direct opposé, il se dresse en permanence contre lui afin de maintenir l’équilibre des forces. On dit d’ailleurs que la vie dans le monde reflète leur lutte, où bonté et vérité s’opposent à la malfaisance et au mensonge.RéférencesLittérature : AvestaBD : Astérix (R.Goscinny, A.Uderzo)Mangas et animes : Valkyrie Apocalypse (S.Umemura, T.Fuku, Ajichika)Liens externes : Zoroastre, des origines à l’Islam (La Revue de Téhéran), Iran : les 7 piliers du zoroastrisme (Geo)Images : image 1, image 2 (Wikimedia Commons) Dernière modification le 18/01/2025. [...]Lire la suite…
29/11/2024Arme mythique, Mjöllnir est le puissant marteau du dieu Thor.IntroductionAssocié au dieu de la foudre Thor, Mjöllnir est souvent considéré comme l’un des plus puissants artefacts de la mythologie nordique. Ce qui lui vaut d’être aussi un puissant symbole.Il existe plusieurs théories sur l’origine de son nom, mais au final il signifierait celui qui écrase avec des éclairs.DescriptionMjöllnir est un marteau à manche court, une caractéristique qui viendrait d’une farce de Loki. La particularité de son manche est d’être extrêmement brûlant, au point que Thor doit porter les gants de fer Jarngreipr pour le tenir. Chez Marvel, il est en forgé en uru, un métal indestructible.Une autre particularité qui fait sa renommée est de toujours revenir dans la main de son porteur lorsqu’il est lancé. De plus, il ne rate jamais sa cible. Ainsi, il n’est pas seulement une arme de corps-à-corps mais aussi de lancer.On lui donne d’autres capacités, comme bien entendu sa puissance pouvant détruire des montagnes ou sa taille qui peut changer, au point de pouvoir tenir dans une poche. Certains univers en feront une arme d’élu, que seul celui digne peut soulever et manier.Il n’est pas qu’une arme, car il peut aussi sanctifier, bénir les objets. Ainsi, il est aussi un symbole, que l’on retrouve sur des amulettes. Thor étant le protecteur de Midgard, il symbolise cette protection face aux forces néfastes de l’univers. Ce qui fut en quelque sorte repris par les vikings, lorsqu’ils utilisèrent le marteau comme symbole en opposition du crucifix lors de la christianisation de l’Europe du Nord.HistoireLa création du marteauL’origine de la création de Mjöllnir vient de Loki. Lorsque Loki coupa la chevelure de Sif, la femme de Thor, ce dernier menaça de le tuer. Il sauva sa vie en faisant la promesse de redonner à Sif sa chevelure. Il trouva les nains Eitri et Brokk qui lui fabriquèrent une nouvelle chevelure, Gungnir qui devint la lance d’Odin et le bateau Skidbladnir.Une fois ces ouvrages réalisés, il défia les nains de forger trois objets encore plus fabuleux et misa sa tête. S’il ne comptait pas perdre sa tête, es deux nains étant en bonne voie pour réussir. Aussi, lors de la fabrication, de ce qui serait Mjöllnir, il se transforma en taon et piqua Brokk à l’œil alors qu’il activait le soufflet de la forge. Ce qui entraina que le manche ne put être entièrement forgé et que Mjöllnir fut finalement un marteau à manche court. Ce qui eut aussi pour conséquence que les nains ne remportèrent pas le défi.Le vol de MjöllnirCe méfait fut commis par le Jötunn Thrym. Il parvint à dérober le marteau à Thor, qui pour le retrouver alla voir Freyja, emmenant Loki avec lui.  Il demanda à Freyja de les transformer en plumes et ils s’envolèrent afin de chercher le marteau.Loki se dirigea chez Thrym qui avoue l’avoir volé et enterré à huit lieues de profondeurs et personne ne pourrait le récupérer. Loki tente de négocier, mais le Jötunn n’accepte de rendre Mjöllnir que contre la main de Freyja.Bien entendu, Freyja refusa le mariage et Thor s’en remit à Loki pour monter un stratagème. Ils acceptèrent le marché et Thor prit la place de Freyja, déguisé en mariée et portant ses bijoux, lors de la cérémonie de mariage. Dans une autre version, c’est Heimdall lors de la réunion des dieux à ce sujet qui eut cette idée.Lors du banquet du mariage, Thrym fut surpris de l’appétit de “Freyja” et Loki, déguisé en demoiselle d’honneur lui répondit qu’elle n’avait pas mangé pendant huit jours d’impatience. Thrym fut réjouit d’entendre cela et fit apporter Mjöllnir pour bénir le mariage.A peine le marteau fut-il posé devant “Freyja” agenouillée que tout bascula. Thor saisit son marteau, arracha son voile dévoilant son visage. Puis, il tua Thrym, ainsi que toute sa famille.RéférencesLittérature : EddaBD : Mjöllnir (Peru, Goux, Jacquemoire)Comics : Thor (Marvel)Mangas : Valkyrie Apocalypse (S.Umemura, T.Fuku, Ajichika)Animation : Saint Seiya : Asgard Chapter (M.Kurumada)Cinéma : Thor (K.Branagh), Thor Le Monde des Ténèbres (A.Taylor)Jeux vidéo : DOTA 2 (Valve), Assassin’s Creed Valhalla (Ubisoft)Lien externe (fr) : Avengers : la vraie histoire du marteau de Thor (SFR Actus)Lien externe (en) : Thor’s Hammer (Norse Mythology For Smart People)Images : image 1, image 2 (Wikimedia Commons) Dernière modification le 30/11/2024. [...]Lire la suite…
15/11/2024Géante effrayante, la Gougou est une très vieille légende canadienne.IntroductionC’est au Canada, au bout du Québec en Gaspésie que provient la légende de la Gougou (parfois appelée aussi la Roulotte). Un monstre qui a longtemps animé les rumeurs et aujourd’hui le tourisme. Ce cryptide est très ancien, puisque c’est en 1603, que Samuel de Champlain l’évoque pour la première fois dans Des Sauvages.Un récit très vite remis en cause, si bien qu’on accuse Champlain d’être un naïf affabulateur, qui croit à des histoires pour enfants. Ce qui le poussera à ne pas mentionner la Gougou dans Voyages en 1613.OriginesLa Gougou serait issue de la mythologie micmac, un peuple améridien de la côte Nord-Est d’Amérique. Elle pourrait être en lien avec le géant Kuhkw dont le nom signifie tremblement de terre, mais aussi au kookwes, un géant poilu et cannibale.DescriptionLa Gougou est une effrayante géante effrayante, une ogresse, une vielle femme hideuse, plus haute qu’un mât de bateau, poilue et cannibale. Quand elle ne dévore pas sur place ses proies, elle les glisse dans sa poche pour plus tard.Il est également dit que ses cris sont horribles, tout comme ses sifflements étranges effraient tous ceux qui les entendent. Elle inspire une telle terreur, que son nom suffit à effrayer les autochtones.Certains récits en donnent une version masculine, qui ne serait pas cannibale (ou du moins cela n’est pas mentionné pour eux).Dans les Légendes de Percé, Claude Melançon change sa description pour celle d’un lion marin à visage de sorcière indienne. Une description bien éloignée du mythe original, bien vite abandonnée.RéférencesLittérature : Des Sauvages (S.de Champlain), Légendes de Percé (C.Melançon)Théâtre : L’île du Gougou (de D’Orneval) Lien externe : créatures fantastiques du Québec (Radio Canada)Image : La Gaspésie – Histoire, légendes, ressources, beautés. Québec, Ministère de la Voirie Dernière modification le 15/11/2024. [...]Lire la suite…

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05/02/2025AutresLes univers de fantasy, avec leurs dragons majestueux, leurs paysages enchanteurs et leurs châteaux mystérieux, inspirent et font rêver depuis des années. Ces thèmes peuvent être transposés avec créativité dans des fonds d’écran originaux, permettant ainsi à chacun d’apporter une touche magique et personnelle à son espace numérique.Les éléments essentiels à intégrer dans un fond d’écran fantasy Dragons, griffons et autres créatures fantastiquesLes dragons, symboles intemporels de la fantasy, apportent une dimension spectaculaire à tout design. Ils peuvent voler au-dessus de montagnes brumeuses ou veiller sur des trésors enfouis. De même, des créatures comme les griffons, licornes ou phénix sont idéales pour insuffler mystère et grandeur. Pour incorporer ces éléments, des bibliothèques d’images gratuites telles que Pixabay (que nous utilisons régulièrement sur le site pour illustrer des pages) offrent des images libres de droits, qui peuvent être modifiées ensuite pour créer des fonds d’écran gratuits. Par exemple, une silhouette de dragon noir peut être placée devant un coucher de soleil flamboyant pour créer une scène dramatique et captivante. Paysages oniriquesLes paysages sont la toile de fond indispensable à tout univers fantasy. Qu’il s’agisse de forêts lumineuses, de montagnes enneigées ou de plaines lunaires, ces décors rendent le fond d’écran immersif. Pour concevoir un paysage magique, il est conseillé de jouer sur les couleurs et la lumière. Une forêt dense peut être accentuée avec des nuances de vert émeraude et de reflets dorés. Les outils gratuits comme GIMP ou Krita (que nous utilisons pour Dol Celeb) permettent d’ajouter des filtres pour rehausser l’ambiance dramatique ou féérique du décor. Châteaux magiques et portails mystiquesLes châteaux sont un autre pilier visuel du genre fantasy. Ils symbolisent puissance, mystère et aventure, devenant donjons dans les jeux de rôle. Pour donner vie à une forteresse mystique, on peut utiliser des structures médiévales réalistes comme base et y ajouter des détails fantastiques, tels que des lumières bleutées sortant des fenêtres ou des tours impossibles. De même, un portail magique évoquant des voyages interdimensionnels peut devenir l’élément central du fond d’écran, capturant l’imagination et entraînant dans un voyage visuel. Les outils pour concevoir des fonds d’écran fantasy Les fonds d’écran fantasy sont une invitation à l’évasion, transportant l’esprit vers des mondes inconnus où tout semble possible.Canva : une interface intuitive pour les débutantsCanva est une plateforme idéale pour ceux qui s’initient au design graphique. Grâce à son interface simple et son accès à des milliers d’éléments préconçus, il permet de composer rapidement des scènes aux thèmes divers dont la fantasy. Par exemple, en combinant un ciel étoilé, une lune géante et la silhouette d’un personnage mystérieux, on peut créer un fond d’écran fascinant en quelques clics. L’outil propose également des options de calques pour superposer différents éléments et ajuster leur opacité. Cela permet d’ajouter de la profondeur à un paysage ou d’accentuer des effets lumineux. Adobe Express : pour une création rapide et accessiblePour des designs simples et efficaces, Adobe Express est l’outil parfait. Facile à prendre en main, il permet de créer des visuels impactants en quelques clics grâce à ses modèles préconçus et ses fonctionnalités intuitives. Par exemple, vous pouvez rapidement transformer une photo en une affiche ou un post attrayant en ajoutant des filtres, du texte ou des éléments graphiques. Avec Adobe Express, donnez vie à vos idées sans besoin de compétences avancées, idéal pour des créations rapides au style professionnel.Étapes pour concevoir un fond d’écran fantasyCréer un fond d’écran fantasy, c’est plonger dans un univers onirique où l’imagination prend le pas sur la réalité. L’idée est d’inventer des paysages merveilleux, des créatures fantastiques ou des ambiances mythologiques qui éveillent la curiosité et transportent dans un autre monde. Que vous soyez amateur ou professionnel, ce guide pratique vous accompagnera pas à pas pour donner vie à vos visions les plus féeriques.Définir le concept : départager les éléments clés du design (créatures, paysages, ambiance). Par exemple, un utilisateur pourrait débuter par un concept simple comme « Un dragon au sommet d’une montagne, sous une pleine lune ». Choisir le format et la palette de couleurs : comme les fonds d’écran sont destinés à des écrans, il est essentiel de travailler avec une résolution adaptée (1920×1080 pixels pour un écran standard). La palette de couleurs, quant à elle, aidera à maintenir la cohérence visuelle. Créer une base solide : importer un paysage ou un dégradé en guise de toile de fond. À l’aide d’outils comme Canva, GIMP ou Krita, y ajouter des nuances et des textures pour poser l’ambiance. Ajouter les éléments fantastiques : superposer des créatures et des objets tels que des portails magiques ou des châteaux. Gérer les dimensions et les ombres pour créer une impression réaliste ou stylisée. Peaufiner les détails : ajouter des particules lumineuses, des effets de lumière ou des ombres pour approfondir le réalisme et accentuer le charme fantasy. Les pinceaux spécialisés dans GIMP et Krita peuvent également être utiles à cette étape. Exporter le fichier final : vérifier la qualité finale et exporter l’image au format PNG ou JPEG pour une utilisation simple sur tout type d’écran. Créer des fonds d’écran fantasy personnalisés permet de donner vie à des univers magiques et uniques, tout en offrant une activité à la fois artistique et captivante. Cette pratique invite à plonger dans des mondes imaginaires où tout devient possible. Que ce soit à travers des dragons spectaculaires crachant du feu, des paysages oniriques baignés de lumière féerique ou des châteaux fascinants perchés au sommet de montagnes mystérieuses, l’imagination devient réellement la seule limite. Grâce à des outils intuitifs comme Canva et Adobe Express, cette démarche est non seulement accessible à tous, mais elle permet aussi de révéler des talents insoupçonnés. [...]Lire la suite…
29/01/2025Jeux vidéoPrésenté à l’occasion du PC Game Show 2014, le CRPG (pour Computer Role Playing Game) Legends of Awen: Rise of the Fianna, inspiré des JdR, plongera les joueurs dans un univers celtique. Le personnage principal sera Finn, qui devra sauver le royaume de Tara de ses ennemis, à l’aide de ses pouvoirs, mais aussi des héros qu’il recrutera dans son aventure.Le studio français Hawkswell qui développe le jeu, prévu sur Steam, avait annoncé lors de la présentation une campagne de financement participatif pour début 2025. Celle-ci se précise sur Kickstarter. Sa page est désormais disponible et les personnes intéressées peuvent déjà la suivre pour être prévenues du lancement. On peut y découvrir des informations sur le gameplay du jeu et des visuels.Cette campagne a pour but de renforcer la qualité et le contenu du jeu en lui apportant plus de routes narratives et donc plus de choix aux joueurs.Communiqué officiel :Rise of the Fianna annonce une campagne KickstarterLe CRPG de fantasy celtique a été révélé lors du dernier PC Gaming Show.Paris, France, 29 janvier 2025 – Hawskwell, le studio français à l’origine du prochain CRPG celtique fantastique Legends of Awen : Rise of the Fianna, a lancé aujourd’hui une page Coming Soon pour sa prochaine campagne Kickstarter. Les joueurs peuvent dès à présent enregistrer leur intérêt pour en savoir plus lorsque la campagne débutera officiellement.La campagne aidera le studio à étendre la portée du jeu, en incluant des choix narratifs supplémentaires et en ajoutant plus de profondeur et d’impact aux conséquences des actions des joueurs.« Nous sommes ravis d’ouvrir notre Kickstarter et de partager notre vision avec notre communauté », déclare Erwan Le Breton, PDG et cofondateur de Hawkswell. » Nous souhaitons que Rise of the Fianna soit aussi proche que possible d’un jeu de rôle sur table en termes de liberté de choix des joueurs et de combinaisons de résultats, et nous pensons que la meilleure façon d’y parvenir est de le construire avec les joueurs ! »Rise of the Fianna vise à offrir une vision originale des mythes celtiques, où les bardes tissent des sorts à travers leurs chants, la magie des Shee subsiste, les peintures de guerre sacrées confèrent du pouvoir, et les armes légendaires canalisent les esprits des héros d’autrefois.Le jeu propose un univers coloré et un système de rencontres où les joueurs peuvent soit engager des combats au tour par tour en exploitant stratégiquement l’environnement, soit choisir de régler les conflits par la négociation, le charme ou l’intimidation. Des choix significatifs sont intégrés à la progression du personnage, permettant une large rejouabilité.Les joueurs peuvent dès à présent soutenir le projet en ajoutant Legends of Awen: Rise of the Fianna à leur liste de souhaits sur Steam et en suivant Hawkswell sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook, Bluesky), pour rester informés des dernières actualités. [...]Lire la suite…
28/01/2025JdR, plateau, cartesNous y sommes, les orcs et leurs alliés déferlent désormais à nouveau dans Orcs Must Die! Deathtrap. Le cinquième jeu de la licence des Orcs Must Die! de Robot Entertainment qui avait été annoncé en juillet 2024 est sorti. Il offre une nouvelle expérience avec entre autre sa progression rogue-lite, de nouveaux personnages, des synergies entre eux avec lesquelles jouer.Jouable en solo ou jusqu’à six joueurs (avec une difficulté s’adaptant au nombre de joueurs), le jeu est disponible sur Steam, Epic Games Store, Xbox Series X|S (day one avec le Game Pass).Communiqué officiel :Orcs Must Die! Deathtrap Est désormais DisponibleLe dernier opus de la franchise est maintenant disponible sur Steam, l’Epic Game Store et Xbox Series X/SPLANO, TEXAS, USA – 28 janvier 2025 – Robot Entertainment, le studio indépendant de développement et d’édition à l’origine de la célèbre série Orcs Must Die!, a annoncé aujourd’hui la sortie de Orcs Must Die! Deathtrap sur Steam, Epic Games Store, Xbox Series X|S et en tant que téléchargement day one pour le Xbox Game Pass.Orcs Must Die! Deathtrap est le cinquième jeu de la franchise acclamée par la critique Orcs Must Die!,. Ce dernier chapitre, rempli de chaos et de massacres d’orcs, propose des systèmes de progression beaucoup plus approfondis, permettant aux joueurs de développer des Mages de Guerre plus puissants au fil des batailles. Le jeu offre une rejouabilité infinie, via l’affrontement de hordes d’orcs acharnés en solo ou en coopération avec jusqu’à quatre joueurs. Les joueurs devront poser des pièges, améliorer leurs défenses et utiliser les armes et capacités uniques de leur héros pour empêcher les orcs d’entrer dans le portail, une source de magie puissante.Offrant des niveaux de difficulté adaptés au nombre de joueurs, Orcs Must Die! Deathtrap permet aux joueurs de choisir parmi 6 Mages de Guerre, chacun avec son propre style de jeu, personnalité, pièges et capacités. Trouver des synergies entre les personnages, maximiser leur équipement et adapter son style de combat est la clé pour écraser les orcs avec succès.Chaque vague d’ennemis est renforcée par des buffs et des debuffs aléatoires. Utiliser l’environnement, en tenant compte des conditions météorologiques et de l’heure de la journée, sera essentiel pour repousser des hordes de plus en plus puissantes. À mesure que les buffs et debuffs augmentent, les joueurs peuvent choisir de continuer à combattre ou de retourner à leur hub au château pour améliorer leur héros, leurs armes et leurs pièges, avant d’affronter un redoutable général orc dans un combat de boss brutal.Les joueurs peuvent en apprendre davantage sur Orcs Must Die! Deathtrap en visitant le site officiel ou en suivant le jeu sur Facebook et X. [...]Lire la suite…
28/01/2025Jeux vidéoAnnoncé en octobre 2024, le second DLC du roguelike Darkest Dungeon II est sorti. Les joueurs vont pourvoir se replonger dans cet univers de dark fantasy en ajoutant L’Abomination comme personnage jouable dans leur diligence.Avec ce DLC Red Hook Studios ajoute la sortie du mode de jeu gratuit Kingdoms, qui avait été annoncé en avril 2024. Ce mode sort avec le premier de ses trois modules d’aventure nommé Hunger of the Beast Clan.L’ensemble est disponible sur PC et Mac, avec une sortie sur console prochainement.Communiqué officiel :Le tout nouveau mode de jeu gratuit « Kingdoms » de Darkest Dungeon II et le deuxième DLC, Inhuman Bondage, sont désormais disponibles.Le mode Kingdoms démarre avec son premier module, Hunger of the Beast Clan, tandis que le DLC introduit une nouvelle mini-région et un nouveau héros jouable.VANCOUVER, 27 janvier 2025 – Red Hook Studios, créateur de Darkest Dungeon, est heureux d’annoncer qu’un nouveau mode de jeu GRATUIT pour Darkest Dungeon II, Kingdoms, ainsi que Hunger of the Beast Clan le premier des trois modules d’aventure, et leur prochain DLC payant, Inhuman Bondage (9,75€), sont sortis aujourd’hui sur PC et Mac, et que les sorties consoles suivront bientôt. Pour célébrer ce lancement, Darkest Dungeon II bénéficiera d’une réduction de 50 % sur Steam et Epic Games Store jusqu’au 3 février 2025.Kingdoms est un tout nouveau mode de jeu pour Darkest Dungeon II, publié en tant que mise à jour gratuite et composé de trois modules d’aventure thématiques, à commencer par Hunger of the Beast Clan. Proposant une structure de jeu entièrement repensée, Kingdoms est une expérience parallèle au mode de jeu Confessions. Les joueurs devront défendre le royaume contre les incursions de nouvelles factions ennemies. Dans un premier temps, ils devront résister à l’assaut implacable des Beastmen, pourrissant sur pied et affamés !« Darkest Dungeon II vient de devenir beaucoup plus grand et beaucoup plus effrayant !  Nous voulions frapper un grand coup avec deux sorties importantes le même jour : la mise à jour gratuite Kingdoms et Inhuman Bondage, un DLC payant », explique Chris Bourassa, cofondateur et directeur créatif de Red Hook Studios. « Avec Kingdoms, nous avons remixé notre propre jeu ! Il s’agit d’une expérience autonome entièrement nouvelle au sein de Darkest Dungeon II. Vous améliorerez et défendrez des auberges tout en parcourant une carte ardue et en accomplissant une quête pour vaincre le chef du Beast Clan. Non seulement cette version ajoute d’innombrables nouvelles fonctionnalités et de nouveaux ennemis, mais Kingdoms va continuer à se développer cette année – nous avons deux modules d’aventure supplémentaires en préparation – tous gratuits. Inhuman Bondage marque le retour d’un héros puissant et unique, et d’une nouvelle mini-région avec sa propre faction, ses propres mécanismes et ses propres récompenses. Ce DLC s’intègre parfaitement au mode de jeu original Confessions et au nouveau mode Kingdoms, apportant de la variété et des défis pour tous les joueurs. »Le DLC Inhuman Bondage introduit une nouvelle mini-région, Les Catacombes, et un nouveau héros jouable dans Darkest Dungeon II : L’Abomination, un personnage conçu en collaboration avec les contributeurs de la campagne Kickstarter.La région des Catacombes invite les joueurs à plonger avec leur diligence sous la surface du royaume pour affronter une menace corrosive et visqueuse. Cette région dangereuse mais riche en récompenses, propose une nouvelle faction d’ennemis et des objets inédits, ajoutant de la variété et du défi aux modes Confessions et Kingdoms. L’Abomination apporte des mécaniques uniques, des babioles, des objets signature, des palettes, des kits d’armes, et une histoire entièrement doublée,avec des flashbacks jouables.Darkest Dungeon II est disponible sur PC via Steam et Epic Games Store, GOG,ainsi que sur PlayStation 4, PlayStation 5, Nintendo Switch et Xbox Series X|S. Le mode Kingdoms et le DLC Inhuman Bondage sont disponibles sur PC et Mac depuis le  27 janvier 2025, avec une sortie console prévue par la suite. [...]Lire la suite…
22/01/2025Jeux vidéoAnnoncé au mois de novembre 2024, le prochain JRPG de KOEI TECMO EUROPE et Gust, Atelier Yumia : The Alchemist of Memories & the Envisioned Land se dévoile un peu plus. Aujourd’hui on en apprend plus sur les personnages, l’histoire, l’exploration du monde et surtout le système de jeu. A noter que le jeu est toujours prévu pour le 21 mars 2025 sur Nintendo Switch, PS4, PS5, XBox One, Xbox Series, PC (Steam).Communiqué officiel :EXPLOREZ ET DÉCOUVREZ LES RELIQUES DE L’EMPIRE ALADISSIEN DANS Atelier Yumia : L’Alchimiste des Souvenirs et la Terre RêvéeUne toute nouvelle illustration de l’artiste bien-aimé Benitama et un trailer de présentation du système de jeu ont été dévoilés !Hertfordshire, 22 janvier 2025 – Aujourd’hui, KOEI TECMO Europe et le développeur Gust ont dévoilé de nouvelles informations sur leur prochain JRPG Atelier Yumia : L’Alchimiste des Souvenirs et la Terre Rêvée. Dans le dernier opus de la franchise Atelier, les joueurs pourront explorer librement le continent Aladiss et découvrir des ruines, des trésors cachés et rencontrer de nouveaux personnages. Un nouveau trailer récemment dévoilé donne aux fans un aperçu plus approfondi du système de jeu, tandis qu’un tout nouveau visuel clé de Benitama a également été révélé. Atelier Yumia : L’Alchimiste des Souvenirs et la Terre Rêvée sera disponible le 21 mars 2025 sur Nintendo Switch™, PlayStation®5, PlayStation®4, Windows PC via Steam® et, pour la première fois dans l’histoire de la franchise, sur Xbox Series X|S et Xbox One.Atelier Yumia : L’Alchimiste des Souvenirs et la Terre Rêvée suit les aventures de Yumia Liessfeldt et de ses compagnons qui partent à la recherche des mystères qui se cachent derrière le cataclysme qui a détruit l’ancien grand continent d’Aladiss et qui a fait de l’alchimie un tabou. Dans sa quête, Yumia sera aidée par Flammi, un compagnon de voyage volant et sûr de lui qui appartenait autrefois à la mère de Yumia. Elle rencontrera également de nombreux personnages au cours de ses voyages, dont Licht, un informateur très compétent, Wilma, une anthropologue passionnée par la culture d’Aladiss, et Erhard, le chef de l’équipe de recherche. Yumia rencontrera également les Alber, une petite tribu amicale qui vit dans différentes parties du monde.Aux côtés de Yumia, les joueurs exploreront des donjons et des ruines à la recherche de trésors cachés dont des « fioles de mémoire », vestiges du passé qui leur permettront de consulter certaines informations sur le terrain comme l’emplacement des reliques autour d’eux. Les « fioles de mémoire » peuvent également être démantelées pour obtenir des matériaux rares utiles à la synthèse.En utilisant les clés du trésor trouvées au cours de leur périple, les joueurs pourront accéder à de précieux trésors. Ils peuvent trouver des « cristaux de traits », qui peuvent être utilisés sur des objets ou des équipements pour améliorer leurs performances dans les coffres à trésors. En s’aventurant dans Aladiss, les fans trouveront également des « geysers de mana » qui libéreront des « particules », nécessaires pour débloquer de nouvelles recettes de synthèsDans Atelier Yumia : L’Alchimiste des Souvenirs et la Terre Rêvée, l’exploration ne sera pas sans danger car les joueurs devront parfois s’aventurer dans des « zones de mana » où le mana très dense est stagnant. Entrer dans ces zones épuise progressivement l’énergie des joueurs, les empêchant de courir et réduisant leurs capacités au combat. Les fans peuvent restaurer leur santé en trouvant des fleurs d’alstahlia, mais la découverte et la restauration de points de repère permettent de nettoyer la zone et d’améliorer la facilité d’exploration.En progressant dans l’histoire, les joueurs recevront des quêtes exclusives de la part de leurs compagnons de voyage, mais pourront également obtenir des récompenses en accomplissant des quêtes normales. La découverte et le déverrouillage de repères et d’autels de prières au cours de l’exploration leur permettront d’obtenir des quêtes de localisation.En plus de l’édition standard, les joueurs peuvent précommander deux éditions physiques spéciales : l’édition PREMIUM BOX qui comprend le jeu de base*, un artbook, un poster en tissu de taille B3 (35.3 × 50 cm) avec une illustration originale, un CD avec des pistes supplémentaires et le costume exclusif de l’accès anticipé pour Yumia « Alchimiste lors de son jour de congé ». L’édition SPECIAL COLLECTION BOX comprend tout le contenu de l’édition PREMIUM BOX  ainsi qu’un foulard dans le style du bandana de l’équipe de recherche Aladiss, une tapisserie de taille A1 (59.4 x 84.1 cm) avec une illustration originale, un ensemble de 6 porte-clés décoratifs, un ensemble de 6 classeurs transparents spéciaux, une feuille d’autocollants spéciale, la précieuse peluche de Yumia, une nouvelle officielle et le livret de traduction qui l’accompagne.Tous ceux qui achèteront une édition physique ou numérique jusqu’à deux semaines après la sortie du jeu recevront Un costume pour Yumia « L’acrobate des souvenirs »,Un costume pour Flammi « L’objet flottant des souvenirs » et l’équipement exclusif « Bande pour entraînement intensif ».Atelier Yumia : L’Alchimiste des Souvenirs et la Terre Rêvée  sera disponible le 21 mars 2025 sur Nintendo Switch™, PlayStation®5, PlayStation®4, Xbox Series X|S, Xbox One et Window PC via Steam®. Le jeu comprendra des voix japonaises avec des textes en anglais, français, allemand et espagnolPour plus d’informations, visitez le website officiel, aimez-nous sur Facebook, rejoignez-nous sur le serveur discord KOEI TECMO Europe  et suivez-nous sur  Instagram et X.*Les versions Nintendo Switch™, Xbox One et Steam®︎ sont uniquement disponibles en format numérique. [...]Lire la suite…
21/01/2025JdR, plateau, cartesAnnoncé au mois d’octobre 2024, le second DLC de Darkest Dungeon II arrive le 27 janvier 2025 sur PC (et plus tard sur consoles). A l’occasion, Red Hook Studios a dévoilé une nouvelle bande-annonce.Ce nouveau DLC introduit une nouvelle région à explorer dans les modes Confessions et Kingdoms: les catacombes. Dans cette zone, la diligence et les personnages vont explorer les souterrains du jeu. Au programme, une menace corrosive et visqueuse, mais aussi une nouvelle faction d’ennemis, ainsi que de nouveaux objets.Pour mener à bien cette nouvelle exploration, la diligence pourra compter sur un héros supplémentaire. Inhuman Bondage introduit, l’Abomination, le héros conçu avec les contributeurs de la campagne Kickstarter du jeu.Liens externes : Red Hook, Studios, Steam, Epic [...]Lire la suite…
14/01/2025Jeux vidéoAprès une série de weekends alphas, puis une alpha fermée, Titan Forges Games a annoncé SMITE 2 Free-to-Play. Ainsi, son MOBA bien que toujours en bêta est désormais disponible pour tous les joueurs. SMITE 2 Free-to-Play est présent sur toutes les plateformes : PC (Steam et Epic Games Store), PS5 et Xbox Series. A noter que concernant Steam, le jeu est également jouable avec le Steam Deck.A l’occasion de cette annonce, le jeu bénéficie d’une mise à jour apportant 5 nouveaux héros (Aladdin, Geb, Mulan, Agni et Ullr) , ainsi que le retour du mode 3vs3 Joute.Communiqué officiel :SMITE 2 EST GRATUIT À PARTIR D’AUJOURD’HUIDirigez votre divinité préférée sur PC, PS5, Xbox Series et Steam DeckAlpharetta, États-Unis – 14 janvier 2025 – Titan Forge Games a passé aujourd’hui SMITE 2 en free-to-play, marquant ainsi la fin de sa phase d’Alpha fermée. En plus de présenter une mise à jour majeure, SMITE 2 est désormais téléchargeable gratuitement sur PS5, Xbox Series, PC via Steam et Epic Games Store, ainsi que sur Steam Deck. La mise à jour ajoute 5 nouvelles divinités à la liste jouable, dont Aladdin, conçu spécifiquement pour SMITE 2.Aladdin rejoint SMITE 2 dans le cadre du Panthéon « Contes d’Arabie ». Développé entièrement sur Unreal Engine 5, cette nouvelle divinité apporte des mécaniques uniques au jeu. Aladdin est très agile et offre la possibilité de courir le long des murs et structures. Son compagnon, le Génie, lui accorde trois puissants vœux au cours de la partie, dont une chance de résurrection en cas de mort. La capacité ultime d’Aladdin lui permet d’utiliser sa Lampe pour emprisonner ses ennemis dans le cadre d’un duel en tête-à-tête.Quatre autres divinités rejoignent SMITE 2 dans cette mise à jour gratuite : Geb, la Divinité Égyptienne de la Terre, Mulan, la Guerrière Chinoise, Agni du Panthéon Hindou, et Ullr du Panthéon Nordique, complétent une longue liste de divinités jouables.Le patch ajoute également « Joute », le mode de jeu 3v3 préféré des fans, qui met l’accent sur des combats rapides et à petite échelle, ainsi qu’une toute nouvelle carte sur le thème des légedes Arthuriennes. Des améliorations significatives ont également été apportées à la carte et aux fonctionnalités du mode Conquête, ainsi qu’une version alpha du mode Assaut. De plus, une nouvelle amélioration facultative appelée « Aspects » a été ajoutée à certaines divinités, offrant de toutes nouvelles façons de jouer en se concentrant sur un ou deux aspects spécifiques de leur kit, plutôt que de modifier toutes leurs capacités de manière générale.« C’est incroyable de voir tout le chemin parcouru par SMITE 2 depuis les premiers prototypes d’il y a un peu plus de deux ans », a déclaré Travis Brown, directeur général et créatif chez Titan Forge Games. « Nous n’aurions pas pu en arriver là sans les précieux retours de la communauté SMITE tout au long de l’Alpha. Le jeu est maintenant objectivement meilleur que son prédécesseur à bien des égards. Nous avons d’ambitieux projets pour 2025 qui raviront nos joueurs sur l’avenir de SMITE 2. »SMITE 2 a rapidement accueilli des améliorations de gameplay pendant toute la période d’Alpha fermée, l’équipe de développement travaillant d’arrache-pied pour intégrer les retours des joueurs. Grâce à des efforts axés sur l’ajoût des divinités existantes dans SMITE 2, le nombre de divinités jouables s’élève maintenant à 45. L’équipe s’efforce d’ajouter rapidement les divinités préférées de tous les joueurs dans cette suite.MITE 2 est disponible gratuitement dès aujourd’hui sur Steam, PlayStation 5, Xbox et l’Epic Games Store. Plus d’informations sur SMITE 2 disponibles dans la FAQ officielle et via X, TikTok, YouTube, Facebook et Instagram. [...]Lire la suite…
05/12/2024Jeux vidéoAnnoncé au mois de juillet 2024, Orcs Must Die! Deathtrap a désormais une date de sortie. Robot Entertainment l’a dévoilé à l’occasion du PC Game Show. Ainsi c’est le 28 janvier 2025 qu’il sortira sur PC (Steam, Epic Games Store) et consoles XBox Series.Les joueurs pourront à nouveau affronter des hordes d’orcs seuls ou jusqu’à quatre joueurs avec un gameplay offrant une progression de rogue-lite. A l’occasion de cette annonce un nouveau trailer a été dévoilé, en montrant plus sur le gameplay du jeu. On y aperçoit les personnages jouables, des monstres et des explications sur le système de jeu (pièges, buffs, débuffs, améliorations de personnages,…).Communiqué officiel :Orcs Must Die! Deathtrap annonce une sortie pour le 28 janvier 2025 lors du « PC GAMING SHOW: MOST WANTED »Le dernier opus en date du jeu de massacre d’orcs préféré du public sera disponible sur PC et Xbox Series X|SPLANO, TX – 5 décembre 2024 – Robot Entertainment, le studio indépendant de développement et d’édition derrière la célèbre série Orcs Must Die!, a annoncé aujourd’hui que Orcs Must Die! Deathtrap sortira le 23 janvier 2025, sur Steam, Epic Games Store, Xbox Series X|S.Présenté lors du PC Gaming Show : Most Wanted, un tout nouveau trailer de gameplay offre un aperçu plus complet de certaines des fonctionnalités uniques, des systèmes de progression, des héros, des armes, des capacités et des pièges qui figureront dans Orcs Must Die! Deathtrap.Dans ce palpitant nouveau chapitre de la franchise acclamée par la critique, les joueurs peuvent combattre en solo ou avec jusqu’à trois autres joueurs dans un gameplay à la troisième personne bourré d’action. En tant que nouveaux Mages de Guerre, les joueurs évolueront à travers une progression rogue-lite, améliorant leurs capacités pour éviscérer, incinérer et anéantir de massives hordes d’orcs implacables.Offrant des niveaux de difficulté adaptés au nombre de joueurs, Orcs Must Die! Deathtrap permet aux joueurs de choisir parmi 6 Mages de Guerre, chacun avec son propre style de jeu, personnalité, pièges et capacités. Trouver des synergies entre les personnages, maximiser leur équipement et adapter son style de combat est la clé pour écraser les orcs avec succès.Chaque vague d’ennemis est renforcée par des buffs et des debuffs aléatoires. Utiliser l’environnement, en tenant compte des conditions météorologiques et de l’heure de la journée, sera essentiel pour repousser des hordes de plus en plus puissantes. À mesure que les buffs et debuffs augmentent, les joueurs peuvent choisir de continuer à combattre ou de retourner à leur hub au château pour améliorer leur héros, leurs armes et leurs pièges, avant d’affronter un redoutable général orc dans un combat de boss brutal.Les joueurs peuvent en apprendre davantage sur Orcs Must Die! Deathtrap en allant sur le site officiel ou en suivant le jeu sur Facebook et Twitter/X. [...]Lire la suite…
05/12/2024JdR, plateau, cartesA l’occasion du PC Game Show, le studio français Hawkswell, participant au projet France 2030 (qui appuie des start-ups aux projets ambitieux) a annoncé Legends of Awen: Rise of the Fianna et dévoilé un trailer. Ce premier jeu du studio sera un CRPG qui plongera les joueurs dans une ambiance celtique. Ils y incarneront le héros Finn qui devra mettre ses pouvoirs au service du royaume de Tara, en recruter les Fianna, de puissants héros, pour le sauver de ses conflits et des forces du mal.Pour ceux qui ignorent ce que signifie CRPG, cela signifie Computer Role Playing Game. Destinés aux PC, ces RPG sont des jeux « à l’ancienne » comme des Baldur’s Gate, Might & Magic, etc.Afin d’étoffer et améliorer le projet, une campagne de financement participatif est prévue pour début 2025. Aucune de date de sortie n’a été donnée pour le moment.Communiqué officielHAWKSWELL ANNONCE LE CRPG CELTIQUE FANTASY LEGENDS OF AWEN: RISE OF THE FIANNALe studio français a présenté un premier aperçu du jeu lors du PC Gaming Show.Paris, France – 5 décembre 2024 – Le studio français Hawkswell a annoncé aujourd’hui le CRPG inspiré de la mythologie celtique Legends of Awen: Rise of the Fianna lors du PC Gaming Show. Rise of the Fianna est le premier titre du studio et a été révélé à travers une bande-annonce mêlant des captures via le moteur du jeu en pré-alpha et des extraits de gameplay.Le studio prévoit de lancer une campagne de financement participatif au premier trimestre 2025 pour élargir l’éventail des choix narratifs offerts aux joueurs et approfondir les conséquences de leurs décisions sur le scénario.Dans cette aventure épique, les joueurs incarnent Finn, ayant perdu ses parents mais possédant des pouvoirs surnaturels. D’abord nouvelle recrue des légendaires Fianna, Finn gravira les échelons pour en prendre la tête. Alors que le royaume de Tara est en proie à des conflits internes et qu’une ancienne force obscure s’éveille sous la terre, les Fianna doivent affronter à la fois des ennemis humains et surnaturels. Les joueurs devront guider leur groupe de guerriers Fianna à travers des batailles tactiques, gérer leurs relations avec cinq Compagnons uniques et débloquer le pouvoir des armes légendaires liées à d’anciens héros.Le jeu propose un univers coloré et un système de rencontres où les joueurs peuvent soit engager des combats au tour par tour en exploitant stratégiquement l’environnement, soit choisir de régler les conflits par la négociation, le charme ou l’intimidation.Des choix significatifs sont intégrés à la progression du personnage, permettant une large rejouabilité. Rise of the Fianna vise à offrir une vision originale des mythes celtiques, où les bardes tissent des sorts à travers leurs chants, la magie des Shee subsiste, les peintures de guerre sacrées confèrent du pouvoir, et les armes légendaires canalisent les esprits des héros d’autrefois.Les joueurs peuvent dès à présent soutenir le projet en ajoutant Legends of Awen: Rise of the Fianna à leur liste de souhaits sur Steam et en suivant Hawkswell sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook, LinkedIn) pour rester informés des dernières actualités. [...]Lire la suite…

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02/01/2025Sorti en décembre 2024, Le Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim nous replonge dans la Terre du Milieu et plus particulièrement dans le Rohan. Bien que derrière le projet on trouve à la production Peter Jackson, les musiques d’Howard Shore, il ne s’agit pas cette fois-ci d’un live action mais d’un film d’animation americano-japonais.Une forme qui peut rendre perplexe sur le résultat. Avec des résultats en salle très mitigés, la réussite commerciale n’est pas au rendez-vous. Alors succès manqué, avec un film victime de la baisse de fréquentation en salle (comme l’excellent Furiosa) ou parce qu’il ne se montre pas à la hauteur ?SynopsisCe nouveau chapitre, situé 183 ans avant la trilogie du SEIGNEUR DES ANNEAUX, explore l’histoire de la Maison de Helm Poing-de-Marteau, roi de Rohan. Face à l’attaque soudaine de Wulf, un seigneur vengeur et cruel, Helm et son peuple se barricadent dans la forteresse de Hornburg, rebaptisée Gouffre de Helm. Dans cette lutte désespérée, Héra, la fille de Helm, doit rassembler le courage nécessaire pour diriger la résistance contre un ennemi déterminé à détruire son peuple.Source : AllocinéCritiqueUn scénario simple mais solideLe Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim se base sur les écrits de Tolkien. On a donc une histoire qui s’inscrit dans l’univers de son auteur. Inutile de revenir sur la qualité des histoires de Tolkien et la solidité de son univers. Le scénario de ce film est en totale cohérence avec cela.La base de l’histoire est relativement simple, celle d’un fils banni après la mort de son père, qui réunit une armée pour se venger, jusqu’à mener un siège. L’histoire ne réserve pas en soit de grandes surprises. L’intérêt va passer par d’autres éléments, comme avoir des scènes épiques, l’ambiance et les personnages, comme le fait si bien Tolkien.De très bons personnagesLes personnages de Tolkien dans leur ensemble sont très souvent intéressants et bien travaillés, même avec un rôle mineur. On retrouve cela ici, car même si on peut les trouver un peu stéréotypés (mais en soit c’est dans la veine de cet univers), ils sont intéressants à suivre.On trouve Héra la fille de roi, qui voit sa famille et son peuple s’effondrer. Elle va devoir rassembler tout le courage et la fougue qu’on lui donne pour devenir l’espoir de tous. Face à elle Wulf, ami d’enfance rongé par le désir vengeance, prêt à tout perdre s’il le faut, pour détruire tout ce qui lui a causé du mal.Helm Mainmarteau est un personnage impressionnant, que rien ne semble arrêter, un véritable guerrier qui combat jusqu’au bout. Malgré ses erreurs, il semble conserver une grande sagesse et garder son statut de véritable symbole.Les personnages secondaires ne sont pas en reste, comme Olwyn, ancienne porte-bouclier qui sert et protège la princesse. Une figure de soutien et qui apporte aussi sa sagesse. Il y a également le général Targg, fidèle à Wulf, mais qui se pose aussi comme une figure de la raison.Une ambiance et réalisation réussiesWarner Bros. Animation et Sola Digital Arts ont fourni un très bon travail pour recréer l’ambiance de la Terre du Milieu et instaurer une atmosphère prenante. L’ambiance et la direction artistique ont un certain charme qui envoûtent et emportent. On ressent la tension des événements, la chaleur des flammes, le froid quand on a des scènes balayées par le vent, la neige.De plus, certaines séquences nous offrent de très beaux plans. ne serait-ce que l’introduction avec la carte de la Terre du Milieu et sa narratrice. Narratrice qui intervient ponctuellement durant le film, lui donnant un aspect de conte, de légende ancienne.L’ensemble fonctionne parfaitement nous offrant un film d’animation très bien réalisé avec des aspects qui peuvent évoquer ce qu’ont fait par le passé Lodoss ou le studio Ghibli.Une réalisation cependant décaléeIl faut reconnaître cependant que le format animation japonaise peut en déconcerter certains. Si on est imprégné des films de Peter Jackson et du fait de la direction artistique, on peut ne pas se sentir dans l’univers de Tolkien, malgré les musiques qui reprennent des thèmes connus des films ou le style.C’est un point très subjectif, dépendant de l’expérience vécue avec cet univers. Toutefois, on peut saluer que malgré quelques séquences, l’animation évite trop d’actions exagérées propres aux animes. Après tout, on est dans la Terre du Milieu et non dans Naruto.De plus, si l’histoire s’inscrit dans l’univers du Seigneur des Anneaux, elle est une side story et donc n’est pas en lien direct avec la trame principale de l’univers. Ce qui peut aussi donner du mal à certaines personnes de s’ancrer à nouveau complètement dans cet univers, malgré quelques liens.Des liens avec le Seigneur des AnneauxIl aurait été bien dommage que l’histoire manque de liens avec le Seigneur des Anneaux compte tenu de son titre, au point de dire que le film n’ait de Seigneur des Anneaux que de nom.Dès le début, la narratrice nous place le contexte par rapport à la Guerre des Anneaux et le Hobbit. Plusieurs lieux bien connus autres que le Rohan sont évoqués (le Gondor, le Mordor, Isengard) et bien entendu le lieu du siège, dont nous en dirons pas plus. Sur la fin un personnage bien connu fait une apparition et un autre est mentionné.Il ne faut pas oublier la narratrice. Celle-ci n’est autre qu’Éowyn qui nous narre donc l’histoire et la légende d’une des héroïnes de son peuple. Héra pour le Rohan un modèle féminin de courage et de bravoure. Un bon choix pour un personnage qui suivra ses traces.ConclusionLe Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim se révèle être une bonne surprise. Si l’aspect animation japonaise ne plaira pas à certains, d’un point de vue plus objectif et technique, cela fonctionne. Ceux qui ont aimé souhaiteront sans doute de voir adaptées d’autres histoires courtes provenant du lore de la Terre du Milieu.D’autant que le traitement du scénario et des personnages conservent la fibre que Tolkien leur a donné. Alors pour répondre à la question posée en introduction, le film mérite-t’il son manque de succès en salle ? Pour ma part cela sera oui. Sans m’avancer au point de dire qu’il devrait être le film d’animation de l’année, il mérite bien plus qu’on s’y attarde. Malgré des à priori que l’on peut avoir, on passe devant un très bon moment. [...]Lire la suite…
30/12/2024Adaptation animée par le studio White Fox du manga de Satoshi Mizukami, la série Sengoku Youko est arrivée à sa conclusion après 35 épisodes. Bien que divisée en deux parties, on a pu avoir l’intégralité de cette adaptation en 2024, ce qui est assez rare il faut l’avouer. Voici donc pour nous l’occasion d’en faire un bilan.SynopsisÀ la fin de l’ère Eiroku, dans un monde où les humains doivent cohabiter avec des êtres nommés katawara [ndlr, des sortes de Yōkai], un guerrier du nom de Shinsuke va faire la rencontre d’un étrange duo. Il s’agit d’une sœur et un frère, Tama et Jinka. Contrairement à la plupart de ses congénères katawara, Tama adore les humains et veut les protéger contrairement à Jinka. Ce groupe va être confronter à un complot qui consiste à transformer des humains en monstres.Source : Wikipédiahttps://youtu.be/IEQ0Jh5USAU?si=TBZvFTLfsJUQVwwACritiqueUne bonne réalisationIl n’y a pas grand chose à redire sur la qualité offerte par le studio White Fox. L’animation de Sengoku Youko est de bonne qualité, même si on est pas dans le meilleur de ce qui se fait, mais la série a un budget modeste comparé aux grosses séries du genre. Ce qui n’empêche pas White Fox d’offrir une bonne ambiance, de beaux plans. Les épisodes naviguent entre l’action, l’humour, les séquences d’introspections et aussi d’émotion. La série offre des combats spectaculaires et dynamiques, avec des effets spectaculaires, offrant de belles séquences. Mais surtout ces combats servent les thèmes abordés et ont aussi leur part psychologique.Les types de scènes sont donc variés, mais sans que le scénario se perde, par des moments trop en décalage qui s’éloignent trop de l’intrigue. Il faut dire aussi qu’avec seulement 35 épisodes, la série doit condenser le manga. Mais cela permet aussi que l’intrigue se maintienne, d’autant que l’histoire se relance à plusieurs reprises avec des évènements inattendus bien placés.Toutefois, après un très bon premier épisode, le début sera peut-être un peu brouillon pour certains, du fait de cette compression des évènements et informations. Un défaut qui a valu à la première partie de la série de ne pas connaître un grand succès et que beaucoup ne sont pas allés plus loin. Il faut aussi avouer que là où un shōnen classique pointe un objectif ultime, clair et défini, Sengoku Youko enchaine plusieurs intrigues. Celle qui est à priori cet objectif final se révèle au final au même niveau que les autres, mais seulement accomplie à la fin.Une galerie de personnageLe travail sur les personnages est certainement ce qui fait la force de cette série. Si le synopsis semble laisse croire que l’histoire se concentre sur un personnage, cela n’est pas totalement le cas. Shinsuke est le personnage de départ, un fil conducteur, mais qui laisse une grande place à d’autres personnages. Ils sont tout aussi importants et attachants, si bien qu’il n’y a pas vraiment de personnage principal, même si Senya est celui sur qui l’histoire se focalise plus dans la seconde partie, car il est le personnage clé. Il en va de même pour les personnages secondaires, dont le rôle est au-delà de la figuration. Peu importe leur nature et leur côté, chacun apporte sa pierre à l’édifice et on s’attache à eux. Seuls ceux du peuple du néant se révèlent moins intéressants et atatchants, bien que l’histoire de leur peuple sert les thèmes de l’anime.Ces thèmes sont traités à travers tous ces personnages, ce qui permet de les voir sous différents angles.La quête de pouvoirShōnen oblige, les personnages vont tous chercher à gagner de la puissance, les adversaires se faisant de plus en plus forts. Cependant tous les personnages ne l’abordent pas de la même manière. Shinsuke la cherche pour ne plus être faible puis par vengeance, comme Jinun, mais dans son cas aussi pour protéger. La quête de puissance de Jinka est plus complexe, car elle est aussi liée à une quête d’identité, dont nous reviendrons plus loin.Mundo désire être le plus fort, Tsukiko veut pouvoir assister les autres, dont (surtout) Senya. Senya qui a été élevé par son père dans l’optique de devenir le plus fort possible, afin de ne jamais connaître le danger. Toutefois par la suite il va la chercher par nécessité.Le prix du pouvoirCependant ces personnages vont découvrir que la quête de puissance n’est pas sans prix. Au-delà de surmonter des épreuves pour évoluer comme dans tout shōnen, ils vont devoir aussi passer des marchés, faire des choix et des sacrifices.Si les personnages plus anciens en ont conscience et en sont des exemples, les plus jeunes vont découvrir cela dans leurs aventures. Ils vont se rendre compte que l’on obtient rien sans rien. D’autant que dans le monde dans lequel ils évoluent, la puissance est liée à des esprits. Plus qu’un choix de vie, le prix est souvent la perte de soi, sur un plan psychologique ou dans la nature même du personnage.La quête d’identitéLa nature des personnages et comment elle peut évoluer, qu’ils soient humains, katawara ou les deux entraîne une quête d’identité chez eux. Cela est sans doute le thème central et principal de Sengoku Youko : qu’elle est sa nature, qui veut-on devenir. La question est complexe pour des personnages qui ne sont qu’à moitié humains. Senya est celui dont on suit le plus le parcours et sa quête de savoir ce qu’il est, autre qu’une arme et de ce qu’il veut être.Jinka quant à lui est moins dans ce questionnement, il a choisi de devenir totalement un katawara, mais fait-il le bon choix ? Lui-même ne le sait pas vraiment en soit et par entêtement il s’y risque, quitte à se perdre.Mundo désire devenir le plus puissant katawara, mais il va réaliser que cela dépasse la puissance brute et se demander qu’est-ce que cela est d’être fort et comment finalement.Chacun de ces trois personnages mène sa quête à sa manière, aidé de ses amis, seul au risque de se perdre ou trouvant un mentor comme modèle.Shinsuke n’a pas été évoqué, mais le personnage se cherche lui aussi toute la première partie, perdant ses repères avant de devenir une figure de mentor dans la seconde. Il joue son rôle de fil conducteur, les autres personnages qu’il croise évoluant autour de lui, que cela soit de son fait ou non.Les autres thèmesD’autres thèmes plus classiques sont abordés comme la famille, l’amitié, l’amour. Bien que classiques ils n’en reste pas moins intéressants, d’autant quand cela fait voir des personnages, (dont certains qui ne sont pas vraiment des alliés), sous un autre jour.Il faut ajouter aussi le thème de la cohabitation entre les humains et les kawatara, chacun jugé mauvais par l’autre, mais que cela est bien plus nuancé.ConclusionSengoku Youko est un très bon shōnen, avec une certaine patte à l’ancienne, qui ne se limite pas à l’ascension d’un héros devenant de plus en plus puissant, entouré d’amis pour combattre des ennemis de plus en plus forts. Il aborde avec profondeur de nombreux thèmes avec justesse et développe ses personnages autour d’eux.Si la première partie est un peu compliquée à suivre, les choses s’améliorent plus on avance, pour nous offrir une très bonne seconde partie. L’ensemble s’achevant avec un épisode épilogue qui conclut parfaitement bien la saga.C’est donc un anime qui bien que n’étant pas parfait, mériterait plus d’attention parce qu’il offre. Il est une très bonne alternative aux gros shōnen, proposant quelque chose d’un peu différent et avec sa propre personnalité. [...]Lire la suite…
17/10/2024Spin-off du jeu de combat 2D Phantom Breaker : Omnia, Phantom Breaker: Battle Ground Ultimate (de son petit nom PBBGU) est un beat’em all à défilement horizontal. Il ne s’agit pas tout à fait d’un nouveau jeu, puisqu’il est une nouvelle version d’un jeu sorti il y a plus de dix ans.A l’occasion du Steam Next Fest, une démo permettant de parcourir les quatre premier niveaux est disponible. De quoi se faire un premier avis sur lui.Titre du jeu :  Phantom Breaker: Battle Ground UltimateGenre : Beat’em allDéveloppeur : Rocket Panda gamesÉditeur : Rocket Panda gamesPlate-forme : PCSortie française : 13 février 2025Un beat’em all pixel art animeCe PBBGU allie à la foi le beat’em all arcade à l’ancienne et modernité. La modernité passe bien entendu par le style graphique du jeu. La direction artistique propose un univers de type anime manga avec des pixels colorés et des personnages chibis. Le tout est renforcé par des animations qui viennent remplir l’écran. La musique aussi se veut moderne, dynamique collant à l’ambiance et l’univers. Techniquement il y n’a rien à redire, le jeu est agréable visuellement et très fluide.Le scénario reste pour l’heure un peu flou dans le jeu si ce n’est que l’on comprendre que deux groupes de personnages, chacun avec son background s’affrontent. Heureusement le site officiel nous en dit un peu plus :« Japan’s capital, Tokyo.The mysterious man, Phantom, has been operating in the shadows in order to regain his immense powers, which have been sealed.He granted a weapon called FA (Fu-mension Artifact) to young talented individuals, and enticed them into battle by promising them to grant their wish if they win in battle.This is because the clash between the FAs will generate a distortion in space and time, creating an opening that leads to an alternate world. This opening will eventually unseal his powers.Waka, the young daughter from the Kumon family belonging to a clan of exorcists rebelling against Phantom, and Mikoto, who offered cooperation, tried to stop this conspiracy, but lost him just before defeating him. In addition, Waka’s younger sister Nagi has been kidnapped by Phantom.Itsuki, who yearns to become the hero of Justice, and Yuzuha, a ninja who once managed to escape Phantom’s seduction, also joins the fight, and the 4 girls set out on a search mission to track down Phantom and save Nagi. »Dès la démo on peut jouer 12 personnages (6 de chaque groupe), chacun avec une arme et un style différent. Les slots vides nous laissant entrevoir que l’on pourrait atteindre les 38 personnages, autant dire qu’on ne manquera pas de choix.Une gameplay efficaceCôté gameplay la prise en main est immédiate, dans sa base le jeu est du beat’em all classique. Chaque personnage possède 3 attaques de base (légère, moyenne et lourde) et une jauge d’énergie. Quand elle est suffisamment remplie, le joueur peut à choix libérer une attaque horizontale infligeant de lourds dégâts sur plusieurs ennemis ou une attaque “magique” de zone autour de lui. Pour les joueurs plus avancés, chaque personnage possède ses propres combos, qui ne sont pas, en tout cas dans ce début de jeu, nécessaires pour avancer. L’accessibilité est donc là, tout le monde devrait y trouver son bonheur peu importe son niveau.Bien entendu, le personnage peut faire des attaques sautées, agripper et jeter un ennemi, s’accroupir pour entrer en position défensive (et les coups reçus augmentent sa jauge d’énergie). Petite chose moins habituelle, le personnage ne peut pas se déplacer librement dans la profondeur. Le joueur peut faire passer son personnage de la ligne avant à l’arrière et vice versa d’un simple bouton. Ce qui se révèle souvent utile quand il y a beaucoup d’ennemis pour se repositionner. Cela évite aussi un problème récurrent dans ce genre de jeu, qui est celui de ne pas être pile devant un ennemi et frapper dans le vide. Dans le cas présent on est toujours bien aligné pour combattre.Variété et difficultéDe ce que l’on a pu voir dans ces quatre niveaux, les ennemis sont assez variés en taille et en comportement. Si cette variété est maintenue dans les niveaux suivants au lieu d’avoir des versions seulement améliorées des ennemis déjà rencontrés cela sera intéressant et évitera une redondance assez courante dans le genre. Le tout s’accompagnant d’une difficulté augmentant car ces premiers niveaux et leurs boss se sont révélés plutôt faciles.Il en va de même avec les personnages jouables. De ce que l’on peut voir si leurs armes changent leur style et que leur combos diffèrent (plus la possibilité de changer le style et couleur de chacun), dans l’ensemble ils se montrent assez similaires. Quand on voit le nombre de personnages on peut donc se demander l’intérêt d’en avoir autant. En comparaison, Teenage Mutant Ninja Turtles : Shredder Revenge propose un set varié et n’ayant pas besoin de plus avec ses sept personnages de base. A voir donc ce que les développeurs vont proposer sur la longueur du jeu et donc ce que sera sa rejouabilité.Un bon beat’em all arcadeCe Phantom Breaker: Battle Ground Ultimate se présente comme un bon beat’em all à l’ancienne, mais en ayant adopté les codes modernes du genre. Son accessibilité, son ambiance et univers d’anime plaira a plus d’un. Si le jeu sait apporter de la variété dans ses niveaux et ses personnages, une difficulté accrue durant la progression, il bénéficiera d’une bonne rejouabilité.. D’autant que le jeu sera également jouable en multijoueur et avec le crossplay. Un titre à donc qui a du potentiel en l’état et dans ce premier aperçu qu’il donne.Liens externes : site officiel, Steam [...]Lire la suite…
12/10/2024Après une saison 1 des plus mitigées comme nous l’avions évoqué dans notre review, la série Rings of Power d’Amazon est revenue. Pour cette saison 2, les showrunners nous avaient annoncé avoir pris en compte les critiques des spectateurs et apporté diverses améliorations et changements. Bien que pouvant être très sceptiques sur cela et s’ils allaient y parvenir, avec l’ambition et les moyens d’Amazon on pouvait avoir un certain espoir. Alors qu’en est-il vraiment ?Petit disclaimer, si vous n’avez pas encore vu cette saison, cela va spoiler.SynopsisSauron est de retour. Chassé par Galadriel, sans armée ni allié, le Seigneur des Ténèbres en devenir ne doit désormais compter que sur sa propre ruse pour retrouver ses forces et superviser la création des Anneaux de pouvoir, qui lui permettront de lier tous les peuples de la Terre du Milieu à sa sinistre volonté. Elfes et nains, orques et hommes, sorciers et Harfoots… alors que les amitiés sont mises à rude épreuve et que les royaumes commencent à se fracturer, les forces du bien luttent toujours plus vaillamment pour s’accrocher à ce qui compte le plus pour elles : la communauté…Source : AllocinéCritiqueSauron et Celebrimbor mènent la danseDès les premiers épisodes, on peut sentir la volonté de se rapprocher du récit original. Du moins du mieux possible, car avec une chronologie et le sens de certains évènements dans la saison 1 qui ont été bouleversés, certaines choses ne peuvent être que poursuivies.Dans tous les cas, par le biais de Sauron sous l’apparence d’Annatar et de son rapprochement avec Celebrimbor, on revient plus près de ce qui était censé être la création des anneaux. Tout d’abord avec ceux des nains (et leurs conséquences dans Khazad-dûm), puis ceux des hommes. C’est sans doute la partie qui est la plus intéressante (et la seule ?) de cette saison, on suit avec intérêt la relation entre les deux personnages et la manipulation de Sauron. Étant la trame principale de la série, on y attache importance et elle est plutôt bien menée. Même si certains détails soulèvent des interrogations, souvent par leur manque d’explication.On apprécie aussi également le flashback revenant sur la succession de Sauron à Morgoth. On y voit les explications de son échec à rassembler Adar et ses uruks derrière lui. Mais aussi comment est -il toujours vivant alors qu’Adar disait être sûr de l’avoir tué.Des intrigues mises de côtéLes nains et le balrogCependant on va très vite se rendre compte que la partie principale va tenir la saison à elle seule. Les autres intrigues peinent à avancer quand et pour certaines cela se révèle assez laborieux. Celle des nains est celle qui avance le plus, bien que cela soit de manière relative. Si on assiste aux effets de l’anneau sur Durin III et Khazad-dûm, qui doivent amener inexorablement au réveil du Balrog, cette intrigue s’étale et s’étire si bien qu’en fin de saison 2, le balrog n’a fait qu’une apparition et on nous pose de nouvelles intrigues politiques.NuménorDu côté de Numénor on a presque le sentiment que l’intrigue est au point mort.. Certes des choses se passent mais en fion de saison on constate qu’au final tout ce qui s’est passé pourrait tenir en un épisode. A la fin de saison 1, Miriel revenait meurtrie et ayant subi un échec. En saison 2, Miriel est déchue, Elendir avec elle, Phazaron a pris le pouvoir et chasse peu à peu les fidèles aux anciennes coutumes. Et c’est à peu près tout, à quelques détails près.Pour rester avec les numénoriens, il nous faut aussi évoquer Isildur. Autant dire que le personnage, malgré son importance dans le lore, n’a absolument pas avancé, à part sa romance avec celle qui sera sans doute sa femme plus tard. Le personnage n’a guère de temps à l’écran, tout comme Arrondir et Théo qui n’ont guère d’intérêt. Ils semblent montrés cette saison plus pour rappeler qu’ils sont là que faire véritablement avancer l’histoire.L’étranger et les pieds velusReste l’étranger avec les pieds velus, sans doute l’intrigue la moins aimée du public. A juste titre, l‘identité de l’étranger est sans suspense et ne sert qu’à multiplier les clins d’œils au Hobbit et au Seigneur des Anneaux, avec les pieds velus futurs hobbits, l’évocation de ce qui sera la Comté. Bien que les scénaristes avaient encore le champ pour modifier l’identité de l’étranger, histoire de ne pas faire comme avec Sauron en saison 1 de ne laisser aucune surprise, ils ont fait le choix de poursuiovre dans cette voie.Reste Tom Dombadil. S’il est sympathique de retrouver ce personnage, il nous fait une « Harry Potter » sur le sujet du bâton de magicien. Cela amusera certains, d’autres trouveront cela un peu ridicule. Quant au magicien noir, on peut craindre le pire sur son identité quand l’acteur a des airs de Christopher Lee. Vont-ils oser nous dévoiler qu’il s’agit de Saroumane ? On espère que non.Galadriel, Elrond, AdarNon, on ne les oublie pas quand même. Ils sont bien là et il y a du bon comme du mauvais sur eux. Galadriel il faut avouer est moins insupportable et un peu plus intéressante. Elle est moins dans l’esprit de vengeance de son frère (qu’elle n’évoque plus d’ailleurs) et aussi prise de remord et affectée par la manipulation que Sauron a eu sur son esprit. On la sent plus face aux faits et prise dans les évènements sans avoir la main dessus. Il faut dire qu’entre Gil-galad, Elrond et Adar, il y a plus d’une fois où elle n’est pas écoutée.C’est Elrond que l’on trouvera peut-être moins supportable en début de saison. Le personnage se montre plus réservé, plus têtu, voire obstiné face aux anneaux. A juste titre, mais la manière dont cela est amené rend le personnage plus irritant, quand on attendrait de lui plus de réserves mais avec sagesse.Reste Adar, un personnage toujours aussi intéressant et ayant plus d’importance dans cette saison. Cependant, nous y reviendrons plus tard, le personnage est quelque peu gâché dans le lot d’incohérences et d’erreurs.Le retour des incohérences et des éléments peu bien amenés.Si on a déjà évoqué parmi les défauts de la saison les soucis généraux des intrigues, il y a aussi les incohérences ou des éléments mal amenés. Il y en avait en saison 1 et la saison 2 n’en manque pas.Dans ses dernières paroles à Sauron, Celebrimbor, toujours intéressant dans ses mots, mentionne l’anneau unique. Son introduction semble soudaine, comme si les scénaristes avaient oublié qu’il serait la prochaine étape de Sauron. Alors qu’il n’a jamais été évoqué, surtout que Sauron toute la saison n’explique et ne montre jamais les raisons véritables de ses actes.On pourra également citer en vrac, Arrondir quasiment laissé pour mort par Adar qui l’épisode suivant combat sans aucune blessure, Durin III qui se jette sur le balrog et une mort certaine alors qu’il avait une porte de sortie assurée. On peut aussi citer Elendil qui brandit l’épée Narsil (future Anduril) comme une épée d’exception. Alors qu’elle est seulement une très bonne lame à l’époque, avant de gagner sa symbolique. La présence de Gandalf et donc des ishtaris fait également perdre le sens de leur venue par rapport au Silmarillion. On est obligés d’évoquer aussi ce qui aura fait hurler des fans (même l’acteur d’Elrond n’était pas d’accord), avec le début de romance entre Galadriel et Elrond . Non seulement ce dernier est censé normalement épouser la fille de Galadriel, mais en plus on cherche l’intérêt.Un combat final peu épiqueEt pour finir on doit parler du combat entre Sauron et Galadriel. Un moment censé être important qui se révèle très peu épique. Bien que la démonstration de changements d’apparence de Sauron et de se jouer de Galadriel est sympathique, le reste du combat est peu captivant. Sauron domine largement et pourrait dominer encore plus s’il le voulait. La chute finale de Galadriel ne donne aucun frisson, car on sait qu’elle va survivre, aussi improbable cela soit-il. Il en va de même pour Adar, qui dominait, avait toutes les cartes en mains. Alors que cela pouvait apporter de la tension, ses choix finaux et sa fin lui apportent une conclusion improbable. ConclusionQue peut-on dire de cette saison 2 au final ? On ne peut pas dire qu’elle est plus mauvaise que la saison 1. Il y a du mieux, comme elle, on y trouve des choses intéressantes tels que les échanges entre Celebrimbor et Annatar. Cependant le reste peine à avancer, ajoutant de nouvelles incohérences, des déroulements scénaristiques très mal amenés et des faits faisant hausser les sourcils.Alors certains diront que les plus fans de Tolkien sont très (trop) exigeants et que les moins connaisseurs y trouveront du plaisir. Cependant, la réputation de Tolkien en terme de construction d’univers et d’histoire n’est plus à faire. On ne peut qu’en redire sur la qualité proposés par les scénaristes à partir d’un tel matériaux de base. Leur choix de déconstruire le récit original n’apporte pas une relecture intéressante et de nouveaux sens aux faits. D’autant que cela est gâché par des incohérences et des maladresses. Venant d’Amazon avec un budget colossal, on pouvait attendre bien plus de cette saison 2 qui devait se réconcilier avec les fans.Pour la suite, les showrunners qui évoquent un succès pour cette saison 2 (que l’on peut douter) disent que la saison 3 va nous renverser. On sait aussi qu’en tout cinq saisons sont prévues, ce qui devrait permettre aux intrigues qui ont été au ralenti cette saison d’avancer. Mais quand on voit leur traitement et l’intérêt qui leur a été porté jusque là, est-ce que cela va pousser le public à poursuivre l’aventure ? A l’heure actuelle on peut que plus en douter. [...]Lire la suite…
19/08/2024Suite à leur succès avec le jeu de simulation Game Dev Tycoon, les développeurs de Greenheart Games se lancent dans une nouvelle aventure. Fini le domaine de l’industrie du jeu vidéo en simulation, place désormais à la gestion d’une taverne dans un monde de fantasy avec Tavern Keeper.La sortie de la démo sur Steam est alors l’occasion d’avoir un premier aperçu de ce jeu, où le héros n’est pas un chevalier, mais un simple tavernier.Titre du jeu : Tavern KeeperGenre : SimulationDéveloppeur : Greenheart GamesÉditeur : Greenheart GamesPlate-forme : PCSortie française : 4ème trimestre 2024Un jeu cartoon et parodiqueDès la scène cinématique d’introduction on a déjà un aperçu de ce que va être l’ambiance du jeu. A travers une direction artistique très colorée et cartoonesque, on retrouve les stéréotypes de personnages de fantasy ainsi que des races (humains, nains, elfes, orcs,…). L’ambiance lest légère et comique, ce qui en soit est assez commun dans ce genre de jeu, tels que le faisaient Theme Hospital ou Theme Park.On retrouve bien entendu tout cela en jeu, également à travers un narrateur assez sarcastique et certains clients de la taverne sortant du lot, tels que les héros. L’ensemble proposé est cohérent, plaisant et agréable, on attend assez vite quel va être le nouveau gag à venir. La bande-son plonge bien dans l’univers proposé et pour une fois dans ce type de jeu, elle n’est pas de celles qui restent en tête des heures et poussent à les couper.Cependant sur le plan technique, quand on zoome de plus près, le jeu n’est pas des plus beaux et les animations sont un peu rigides. Certes ce type de jeu et de choix de design permet plus de simplicité, du fait de son caractère non-réaliste. De plus on passe le plus souvent de son temps en vue éloignée. On pourrait attendre un peu plus, mais n’oublions pas que le jeu est encore en développement.Gameplay classique mais pas queJeu de gestion oblige, on retrouve les classiques du genre dans le gameplay : installer ses pièces et ses équipements, recruter son personnel. S’agissant d’une taverne, il va falloir aussi gérer son menu et son stock de produits. Stock qui se refait auprès d’un npc venant chaque jour proposer ses produits. Il va donc falloir les acheter, les stocker dans une réserve et choisir ceux que l’on offre aux clients. L’offre aux clients en boisson par exemple est limitée par le nombre de débits installés.Mais il n’y a pas que le comptoir à gérer puisque le jeu permettra par la suite de rajouter la cuisine, les chambres et d’autres choses. Le tout en remplissant des quêtes et des objectifs pour avancer dans le jeu et débloquer d’autres établissements.Un aspect intéressant du jeu mis en avant dans la démo et la personnalisation du mobilier, qui va permettre aux amateurs de customisation de pousser plus loin l’apparence intérieure de leur taverne. Ils pourront lui donner l’allure qu’ils désirent, que cela soit barbare, magique, alchimique, chevalerie, etc,…Un jeu amusantLa démo bien que ne montrant pas tous les aspects du jeu nous a charmé par son gameplay et son ambiance. Comme avec Game Dev Tycoon, ce Tavern Keeper devrait se trouver un public étant simple à prendre en main et amusant. D’autant qu’il se montre original dans le genre. Si on a déjà eu des jeux de gestion de restaurants ou autres, peu l’on fait dans un monde de fantasy et abordant tous les aspects d’une taverne.Si vous êtes curieux, nous ne pouvons que vous inciter à essayer la démo qui ne vous demandera qu’une heure au maximum.Liens externes : site officiel, Steam [...]Lire la suite…
08/05/2024C’est du 02 au 05 mai 2024 que s’est déroulée le premier weekend d’alpha de SMITE 2. Quelques jours plutôt attendus afin d’avoir un premier aperçu ce que sera la suite de SMITE premier du nom.Titre du jeu : SMITE 2Genre : MOBADéveloppeur : Titan Forge GamesÉditeur : Hi-RezPlates-formes : PC, Xbox Series Z, PlayStation 5Sortie française : été 2024Avant de débuterComme il s’agit seulement d’une alpha, il ne s’agira que d’une preview. La phase ne proposait qu’une dizaine de personnages, un seul game mode et certains aspects sont encore en développement.Les bases du MOBA et de SMITEOn ne sera pas perdu dans le genre du MOBA avec ce SMITE 2. Une carte avec 3 routes, des tours à tomber sur chacune d’elles pour atteindre le point à détruire du camp adverse (ici un boss). Entres les chemins on retrouve une jungle avec des monstres à tuer pour gagner de l’expérience et des monstres plus importants, des mini-boss offrant des boosts pour toute l’équipe. Équipe composée de 5 héros.Du côté de SMITE, on retrouve la vue à la troisième personne qui le distingue d’autres jeux du genre et ravira ceux qui n’aiment pas la gestion de caméras comme dans les jeux de stratégie.Une refonte graphiqueCe SMITE 2 est l’occasion pour les développeurs de passer à l’Unreal Engine 5 et donc de faire évoluer leur jeu graphiquement. Ainsi que de se redonner de la souplesse dans sa programmation. Si la direction artistique reste similaire, on voit déjà qu’il y a plus de détails dans les environnements et sur les héros. Pour ces derniers on l’a entre autre vu avec Neith qui était probablement un des héros les plus avancés graphiquement et animations.GameplayCôté parties, nous les avons trouvé plutôt plaisantes et intéressantes, même dans la défaite. Peut-être est-ce seulement un feeling, mais on a sentit qu’il était plus facile d’éviter de feed des adversaires (se faire tuer et leur donner de l’expérience) quand on avait de la difficulté contre eux. De plus en cas de retard de niveau, il était assez facile de remonter.Outre la montée d’expérience permettant de débloquer ses pouvoirs et les monter de niveaux, il y a également le classique achat d’objets. Le système est assez basique, on achète les objets, en les combinant on peut en créer d’autres meilleurs. Le jeu propose un système automatique en fonction de l’orientation que l’on a choisi. Par exemple en choisissant une orientation sur une statistique, le jeu va automatiquement acheter les objets basés sur celle-ci. On a  cependant trouvé un peu l’achat confus, d’autant qu’il y avait des petits bugs de navigation dans les menus. Il y a sans doute matière à rendre cela plus fluide, plus clair et accessible.Concernant les héros son peut sentir que le focus de cette alpha n’était clairement pas sur de l’équilibrage. Certains étaient comme dans le premier SMITE, d’autres avec une refonte et il y avait Cernunnos comme nouveau. Globalement on a eu l’impression que les personnages de type corps-à-corps et donc plus physiques et tank étaient au-dessus des autres. Bien que dans les distances Anubis en réussissant le combo de ses pouvoirs, tuait un adversaire presque à tous les coups et les dégâts de Zeus étaient hauts.Nous n’avons cependant pas eu le temps de tester tous les héros disponibles. Ce qui ne nous a pas empêché parmi eux de nous amuser particulièrement avec Neith et Bellona, si on ne devait en citer que deux. A noter également que nous avons trouvé la maniabilité meilleure à la manette que clavier-souris.Un nouveau jeu qui se justifie et plaisantCe premier aperçu de SMITE 2 se révèle positif et encourageant. Le passage sur un nouveau moteur démontre déjà une amélioration et une réactualisation graphique, qui commençait à être nécessaire. Le jeu n’étant pas une simple mise à jour, il va être l’occasion pour les développeurs de revoir certaines fonctionnalités et équilibrages, en plus d’introduire des nouveautés. L’opportunité donc pour ce SMITE 2, tout en marchant dans les pas de son prédécesseur  que la licence soit remise au goût du jour, maintenir, raviver son intérêt et attirer celui de nouveaux joueurs.Liens externes : site officiel, Steam, PlayStation 5, Xbox, Epic Games Store, X, TikTok, YouTube, Facebook, Instagram [...]Lire la suite…
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